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Philippe Gourdon : un peintre en quête de perfection.Ce créateur surprenant ne passe inaperçu dans le quartier Saint-Sauveur. Dans un autre monde, il aurait peut-être été un sérieux concurrent à Bonnard !Dans son atelier posté au 436 rue Saint-Sauveur, l´inspiration de Philippe Gourdon explose. Les coups de pinceau de ce peintre qui passe pour l´un des plus talentueux de la région, sont troublants d´érotisme. Ils déstabilisent au premier regard. Difficile de rester insensible face à ses naïades transpirant l´amour. Chaque détail, chaque portrait semble vivant. Du sang paraît circuler, gonfler les veines des organes peints en noir et blanc. Les nus voluptueux vous observent. Les larmes donnent l´illusion de couler sur les toiles organiques. Du sensuel au glauque en un battement de cil ! Dans l´univers de l´artiste cannetan, le beau, poussé à son paroxysme, côtoie aussi le sombre, le glauque et le morbide. Mais surprise, cela ne dessert en rien les oeuvres. Car on peut y voir une preuve irréfutable, à 52 ans, de la maturité de l´artiste : "J´aime choquer et surprendre. J´assume mon irrévérence." Les âmes sensibles sont prévenues : "Une main ou la courbe d´un sein, tout autant qu´un visage, nous parle de l´histoire d´une vie, allant de la souffrance à l´amour. Au-delà de l´esthétique pure, je n´ai pas peur de tout représenter. Après, chacun se fera sa propre interprétation." Reclus dans son atelier tel un moine dans son monastère, Philippe Gourdon "travail sans cesse". Faisant fi des tendances artistiques du moment, il compose dans l´urgence. L´urgence du temps qui passe, l´urgence d´exprimer de l´amour. On ne vit qu´une fois, alors autant faire les choses à fond : "Ne me parlez pas d´autre chose que d´amour. Le reste, je n´y comprends rien." Des instants de grâce Cette année, Gourdon souhaite aborder le thème de l´extase : "Je veux capter les traces d´expériences ineffables. Mettre en peinture des instants de grâce, la perfection." En parallèle de ses tableaux, Philippe Gourdon compose aussi de la peinture sur marbre : "J´aime le contact avec la pierre. Ce type d´art permet d´immortaliser les défunts." Et les toiles, quand à elles, ont définitivement immortalisé son créateur. La boucle est bouclée. Frédéric Benkel Nice Matin du 02 mars 2010Les spécialistes disent de son oeuvre qu´elle rappelle celle d´Ernest Pignon-Ernest. Philippe Gourdon, peintre contemporain, prend pour toile le marbre, le travaille à la manière d´un sculpteur, mais c´est avec son pinceau qu´il y imprime des visages, des corps, des attitudes. D´abord directeur artistique pour différents magazines, il a ensuite été compositeur-interprète de musiques pour le cinéma et la télévision. Après un passage dans les ateliers de croquis de nus de la place des Vosges, à Paris (où il intègre les bases du dessin académique), il créé, expose et décide de s´installer sur la côte, à Cannes précisément. "Je peins ce que j´aime, le jeu amoureux. Je vais essayer d´être plus lâché dans mon trait, plus fluide, moin académique, pour laisser passer l´émotion." L´artiste pense aussi à la réalisation de mobilier... d´artiste. Comme cette table en marbre dont une partie serait peinte. Il lui reste à se rendre à Carrare pour dénicher la pièce de marbre idéale, puis à s´atteler à l´ouvrage. Une pièce unique bien sûr. Qui ouvrira sans doute la voie à d´autres. Philippe Gourdon ne manque ni d´idées ni d´enthousiasme. C.O.Résidences Décoration du 01 juin 2009Symphonie en marbre majeurSingulier travail que celui de Philippe Gourdon... Ce jeune cinquantenaire a d´abord évolué dans un univers littéraire et musical avant d´entrer dans le monde de la peinture, après seulement quelques cours de dessin de nus place des Vosges. Et puis très vite, cela devient une évidence. Il possède un véritable don pour raconter la chair, la peau, le désir, la beauté. Plus tard, lorsqu´il restaure en Périgord un ancien prieuré du XIIIe siècle pour y installer son atelier, l´artiste à la facture classique trouve enfin, par hasard, le support rêvé pour ses oeuvres : la pierre ! D´autres l´ont sculptée. Lui sera celui qui peint sur le marbre... Cette découverte lui ouvre les portes d´une autre façon de faire, plus rapide, plus exigeante, plus fascinante aussi. Car, contrairement au papier ou à la toile, le marbre possède une vie propre, une âme, un passé. Il porte dans sa texture, dans ses nuances, dans la forme de ses fragments même, le résultat final, comme si l´un nourrissait l´autre, l´illuminait, la transcendait. Sous les mains de Philippe Gourdon, le marbre n´est pas froid, pas plus qu´il n´est inerte. Bien au contraire, il est chaleur, rondeur d´une joue, douceur d´un grain de peau, sensualité d´une nuque, passion des corps. Il est devenu le support intime d´une expression forte et douce à la fois, d´une gestuelle fluide et d´une histoire à suivre... absolument !Art & Décoration du 05 décembre 2008Le marbre, la toile, le métal : autant de matières qui prennent des accents contemporains sous le pinceau de Philippe Gourdon. Son regard particulier et sa sensibilité nous livrent un monde à la fois connu et insondé, révélé sous un trait d´essence apparemment classique : la pierre devient douce et chaude, le métal rend les accents vibrants de la peau, la toile déploie des décors insoupçonnés. Sensualité, douceur mêlée de force sont au rendez-vous...Arts du Sud du 01 décembre 2008Sculpteur de marbre… au pinceauIl peint sur marbre et il adore ça. À tel point que lorsqu’il lui arrive de reposer le pinceau sur la toile, il cherche instinctivement à recomposer les nuances de la pierre, par les couleurs et les impressions.C’est un ancien prieuré du XIIIe siècle qui lui adonné cette idée… « J’étais en train de le restaurer chez moi, en Dordogne, lorsque j’ai eu envie de tester un nouveau procédé », confirme Philippe Gourdon. Après avoir longtemps travaillé dans l’éditions à Paris,l’artiste a décidé de venir prendre un peu de soleil dans la région avec sa famille. Et ses œuvres, déjà exposées à Dubaï, Paris et New York, ont pris attache dans une galerie-atelier, rue Saint-Sauveur. Des toiles, superbes,représentant des humains ou des parties de leur corps et des animaux. Et puis les marbres dont on ne détache pas le regard…L’alliance de la chaleur de la chair et de la froideur de la pierre ; la sensation que les visages féminins, les corps, les animaux prennent vie à l’intérieur du marbre suscite immédiatement l’attachement de celui qui rencontre l’œuvre. Il faut peindre très vite !Philippe Gourdon prévient juste, d’un point de vue technique, que « contrairement à ce que l’on pourrait penser, la peinture ne glisse pas sur le marbre, elle le pénètre très vite. Il faut donc peindre rapidement et ne pas se louper. « Sinon, on ponce et on recommence tout.Jusqu’à ce que la pierre soit habitée par le personnage. Et au final, elle l’est… C. B.Nice Matin du 20 septembre 2008"Un élégant et sensoriel voyage de l´autre côté du miroir. L´envie de toucher les toiles ou la pierre surprend l´observateur lui-même. La sensualité est là, toute proche au bout du pinceau, comme une douce caresse sur les cils de celui qui regarde les œuvres de Philippe Gourdon." Khol Magazine - mai 2008 Article parut au mois de mars 2008 dans le magazine d’art américain : Style Century Magazine Télécharger au format pdf Style Century Magazine - mars 2008 "Philippe Gourdon Les peintures de Philippe Gourdon sont des œuvres représentant des morceaux de corps nus, des corps de couples enlacés. La chair est omniprésente dans les œuvres de Philippe Gourdon. Parfois ces corps entre mêlés donnent l´impression d´être sous la pression d´une force extérieure. Les membres (bras et mains surtout) semblent inexorablement s´enfoncer dans la chair comme pour laisser une trace indélébile sur l´autre corps. Ces tableaux font parfois penser à des morceaux de marbre sculptés à la fois rigides et sensuels ; d´autres sont en mouvement comme s´il s´agissait d´un corps à corps entre une femme et un homme. La plastique des corps est représentée d´une manière réaliste, on sent la présence des muscles qui jaillissent de la chair. Les visages des personnages sont souvent effacés ou absents comme si leur identité n´avait aucune importance, les corps sont nus, livrés à eux même, ils semblent mener leur propre vie." Connaissance des Arts - février 2000 "Gourdon, à suivre... Philippe Gourdon exprime la pureté des corps amoureux. Cet autodidacte parisien de 40 ans, qui a tout de même suivi quelques cours de croquis (place des Vosges, à Paris), est un amoureux des femmes. Il peint donc, avec une certaine force, des corps du genre qu´il préfère, des corps sensuels. C´est un peintre intimiste : "Je peins ce que j´aime, le jeu amoureux. J´utilise pour cela l´huile, dans des couleurs monochromes." Gourdon ira plus loin dans sa quête personnelle : "Avant, j´étais académique, mais je vais essayer de lâcher çà, de faire de l´abstrait, pour mieux faire passer l´émotion." Gourdon, admirateur de Vélickovic, est un jeune peintre, dont l´œuvre n´aura aucun mal à plaire à tous les publics. Ses couples, semblant enlacés pour l´éternité, dégagent beaucoup de force. Représentés de manière réaliste, ils font pratiquement jaillir la chair hors du cadre, de manière saisissante." Ouest-France - janvier 1998 "Philippe Gourdon séduit le public : Le prix du public a été attribué pour ce premier festival à Philippe Gourdon, qui présentait une série d´œuvres qu´il définissait ainsi lors du vernissage : "À travers les neuf toiles que je présente ici, et qui dénudent les mêmes personnages, je souhaite faire passer la dynamique douce de l´intime jusqu´à la force de l´érotisme". Les visiteurs ont été sensibles à la démarche de cet artiste autodidacte qui vit et travaille à Paris où il expose ses œuvres à la galerie Martine Moisan dans la galerie Viviene à Paris 2e." Le Courrier de l´Ouest - janvier 1998 "Philippe Gourdon présente une œuvre intimiste, jouant sur l´ombre et la lumière, dans une série de nus traités dans un style épuré. Ce parisien a remporté le premier prix." La Montagne - août 1998 "Philippe Gourdon, coup d´essai, coup de maître : Comment imaginer qu´une personne absolument inexperte dans le domaine de la peinture et du dessin il n´y avait encore que quelque mois, puisse atteindre une telle maîtrise de cet art et, de surcroit, sans réellement suivre de cours, si ce n´est le fameux atelier de maître Raveau, place des Vosges à Paris, durant trois ans en cours du soir. Un autodidacte, au véritable sens du mot. À trente deux ans, Philippe Gourdon, nous offre une œuvre d´une maturité certaine. Aptitude ambivalente Le travail de Philippe Gourdon est d´autant plus intéressant qu´il fait preuve d´une ambivalence rare en peinture, à savoir du figuratif autant que de l´abstrait. Ce fût d´ailleurs l´avis du public, qui le plébiscitât lors du 23 ème salon des peintre étudiants, en juin dernier. Agencement judicieux, souci du détail, maîtrise de la lumière, rien ne laisse supposer dans les toiles de Philippe Gourdon l´absence de formation académique. Comme il le dit lui-même : "L´absence de formation et de diplôme ne me pèse à aucun moment, je me sens complètement libre dans ma création, chaque toile ou dessin est une nouvelle aventure, une remise en question totale et permanente de mon travail." Itinéraire solitaire d´un artiste qui échappe à l´emprise des influences pour mieux sauvegarder sa vision candide de la nature et des chose." Vision sur les arts - juillet 1990 |
Galerie-atelier : 436 rue Saint-Sauveur 06110 LE CANNET - tél. : 06 11 10 26 34 Si vous souhaitez être informé des expositions ou événements à venir par la newsletter, merci d´utiliser l´espace contact. |